dimanche 13 novembre 2011

Photos et analyse de la course

Et dire que la semaine dernière (déjà), je courrais sur le bitume new-yorkais... le temps passe vite. En un sens, heureusement, car j'hâte de recourir un marathon. J'ai peiné pendant la course (magnifique), je me maudissais à me lancer dans ces courses sur 42 km et des poussières et puis dès l'arrivée franchie, je ne pensais qu'à une chose : remettre cela !

J'ai repris l'entrainement (footing) cet après-midi (45 min cool) et j'ai échangé par email avec mon coach. Je voulais programmer 2 marathons sur 2012, mais il m'en a dissuadé. Je ferai 6 mois d'entrainement axés sur la vitesse (5 et 10 km) pour ensuite, sur un marathon d'automne, attaquer de nouveau mon objectif de 3 h 45.

Pour moi, cela va être long d'attendre 1 an avant de reparticiper à une course si emblématique de notre sport (mais j'envisage de participer au marathon de berlin 2012, un bel objectif et un parcours propice à la performance...).

Bon, d'ici là, voici quelques photos de notre voyage aux states... j'ai réellement envie d'y retourner et je comprends tous ceux qui me parlaient du marathon de new-york avec des étoiles dans les "yeux". Ce fut si magique...

1ère photo : du 69ème étage d'un building de rockfeller center (top's of the rock). Vue de Manhatton et au loin le bronx. Cela donne une idée du second semi du marathon de new-york. Il faut remonter la 1ère avenue (cachée par les immeubles sur la droite) jusqu'à l'horizon (bronx puis retour via harlem) et enfin remonter toute la 5ème avenue et finir par central parc (vous devinez où il est sur la photo...).



2ème photo : de l'intérieur de grand central station... en compagnie de policiers new-yorkais acceptant de se prêter à une photo pour touriste (cela à fait plaisir à mon grand garçon).


3ème photo : en direct du jacob javit center pour le retrait du dossard : mon numéro 41.301 (2nde vague, sas vert - celui qui part à l'intérieur du pont du verrazano... pas grave car la vue y est tout aussi impressionnante sur la grande pomme).


4ème photo : la 1ère avenue prête à accueillir les coureurs. La foule est déjà là et elle sera au rendez-vous tout au long du parcours.


5ème photo : les 1ers passent si vite que la photo est floue...



Mon passage préféré lors de ce marathon : Brooklyn sans hésitation. La foule y était nombreuse, enthousiaste et généreuse. Il y a des passages où j'avais l'impression de franchir le col de l'alpe d'huez lors du tour de France. J'avais la chair de poule (Brooklyn, c'est aussi tout le 1er semi, et j'étais dans mon allure objectif...).

J'ai moins aimé le Queens (peu d'intérêt visuel et moins de public et... un satané et interminable pont avant de rejoindre Manhattan).

Et le final surprenant et bosselé de Central Park... avec un public chaleureux. Je m'accrochais et voulais gratter quelques secondes pour au moins battre mon record perso. Réussi ! Je peux dire que j'ai fait mon meilleur temps outre-atlantique...

6ème photo : la veille (ok je suis pas l'ordre, mais est-ce grave ?), devant l'immeuble des nations unis pour la course d'entrainement ouverte au public. Payante cette année, mais l'occasion de courir avec mon épouse dans les rues de new-york. Il faisait froid ce matin là (départ 8 h 30).


7ème photo : remontée de la 5ème avenue vers central park (partie non empruntée par le marathon. La ville était à nous, pas de public pour cette matinée renforçant ainsi la sensation étrange d'être sur une autre planète).


8ème photo : dernière vue de la ville avant de reprendre l'avion... snif.

3 commentaires:

  1. Te voilà parti à la chasse des 5 majors. Très bon CR.

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  2. Merci à toi.
    Cela pourrait être un objectif perso, même passer par une qualif sur l'un d'entre eux (tu vois de quoi et de qui je parle...) est quand même d'un niveau plus classieux :)

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  3. Superbes photos qui me rappellent bien de bons souvenirs ... Tu as eu beaucoup de plaisir à ce que je lis, c'est super :-)
    Moi aussi, je me cantonne à 1 marathon par an, même si je songe parfois à en intégrer un au printemps. Mais c'est vrai que de retravailler un peu la "vitesse" est bénéfique je pense, et la préparation d'un marathon, bien que merveilleuse, est tout de même contraignante (n'abusons pas de la compréhension de nos petites familles !). Un an, c'est long, mais ce passe vite ;-)

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