Certes, c'est un marathon avec 42,195 km de parcours, mais le décor y est magique, le public enthousiaste et le souvenir impérissable.
Si je n'ai pas atteint mon objectif (3 h 45), j'ai amélioré de quelques secondes mon record perso. Avec 3 h 58 min et 53 sec, je suis quand même content de moi parce que le parcours est loin d'être facile. Les fameux ponts (par le 1er, mythique mais que l'on attaque frais, plutôt le 2ème et le 3ème...), les bosses de central park (oulala...), les longues avenues (la 1ère et la 5ème).
J'ai peiné à partir du semi, avait mal aux pieds (1 ongle décollé à chaque pied), mais il faisait extraordinairement beau et le public me donnait la chair de poule. On ne peut pas abandonner sur cette course.
Sur la photo, c'est moi qui passe en trombe devant mon épouse, au 26ème kilomètre. Bon, j'avoue pas si vite que cela car je me remettais des 2 terribles ponts avant et après le bronx !
Le voyage s'est bien passé (je découvrais cette ville qui m'a subjugué et les américains se sont révélés à moi : accueillant, prévenants...). J'ai envie d'y retourner courir, dans quelques années quand mes 2 enfants seront plus grands (qui sait l'un deux voudra peut-être courir avec moi...).
Sous les 4 heures à NY, c'est très bien et plein de petits plaisirs à NY. Félicitation.
RépondreSupprimerQuand je me remémore le parcours, oui je suis content de moi :)
RépondreSupprimerDésolée du retard, j'ai un peu la tête ailleurs ;-) BRAVO ! Déjà pour ton record battu :-) Comme tu le dis, si ce marathon est juste extraordinaire, il n'est pas facile, avec les difficultés concentrées sur la 2ème moitié (heureusement que le Verrazano n'est pas au 30e km !). Mais si beau, si magique, si ... On peut effectivement difficilement abandonner à moins d'être vraiment blessé ! Vivement plus de détails dans ton ! Encore bravo, et bonne récup !
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